Rapport sur le développement durable de VALENTE

Matrice de matérialité :

L’identification des impacts, actuels et potentiels, générés par les activités de Valente s’est faite à travers l’analyse du contexte dans lequel la société opère et à travers l’évaluation de l’activité réalisée et des actions promues dans la sphère ESG.

Chaque impact a été quantifié par l’équipe ESG sur la base de critères de gravité, d’étendue et de probabilité mieux spécifiés dans la note méthodologique et les annexes correspondantes.

Une analyse des risques a ensuite été réalisée sur la base de la quantification de l’impact et de la probabilité d’occurrence, ce qui est illustré dans les graphiques ci-dessous, divisés par zone de reporting.

La taille du point indique la composante financière.

En référence au DOMAINE ENVIRONNEMENTAL

En référence au DOMAINE SOCIAL :

En référence au DOMAINE DE GOUVERNANCE :

ENVIRONMENT

En raison des caractéristiques intrinsèques de l’activité exercée, l’impact de l’activité de Valente sur l’environnement est particulièrement limité et se résume aux questions de l’énergie et des émissions de GES, de l’utilisation des ressources, principalement l’acier, des émissions dans l’atmosphère (pour lesquelles elle détient une autorisation spéciale) et de la bonne gestion des quantités de déchets produits, dont 99% sont de toute façon recyclés.

La question de la biodiversité et de la pollution des sols n’est pas considérée comme pertinente, car le site ne se trouve dans aucune zone protégée ou à risque et n’entraîne aucun risque potentiel de pollution, de désertification ou de consommation de terres. La consommation d’eau n’est pas non plus considérée comme pertinente puisqu’elle est uniquement destinée à un usage civil.

En outre, Valente opère dans un secteur, l’industrie ferroviaire, qui est particulièrement sensible à la question de la durabilité, et s’adresse à des fournisseurs d’acier internationaux qui se sont déjà largement engagés sur la voie d’une industrie plus durable.

UN SECTEUR CONSCIENT DES RESSOURCES
(B7- Utilisation des ressources)

VALENTE S.p.A. utilise 1430 tonnes/an d’acier pour la production de rails, 165,4 tonnes/an (ou 286950 pièces) de systèmes de fixation, 24 tonnes/an (ou 192000 pièces) de vis et 1290 d’élastomères pour les couches intermédiaires.

Nous avons contacté les différents fournisseurs d’acier pour les chemins de fer (qui représente 90 % du matériel traité à Valente) ou vérifié ce qu’ils ont déclaré dans leurs rapports environnementaux, lorsqu’ils étaient disponibles, concernant le pourcentage d’acier recyclé dans le matériel vendu à Valente, et nous pouvons affirmer qu’il est conforme aux lignes directrices de l’industrie qui attestent de l’utilisation d’un pourcentage de matériel recyclé de 30 %.

En ce qui concerne les autres matériaux entrants (emballages et produits de peinture), il convient de noter que leur contribution est marginale par rapport aux quantités de matériaux manipulés, mais en tout état de cause, Valente réutilise 80 % des matériaux d’emballage tels que le bois et le carton et 20 % du plastique d’emballage pour ses expéditions.

Considérant que le secteur ferroviaire est particulièrement sensible à la question de la durabilité, dont il est un protagoniste en raison de son impact réduit par rapport à d’autres modes de transport, il est probable que des exigences de plus en plus strictes seront imposées sur le matériel utilisé et sur le respect des délais de livraison. Étant donné que, d’un point de vue financier, on estime qu’une difficulté ou une anomalie dans l’approvisionnement en matériaux peut représenter un impact sérieux pour l’entreprise (avec un préjudice pouvant aller d’une perte de 10 % de la valeur de la commande elle-même jusqu’à la non-acquisition de la commande) et qu’il s’agit d’une éventualité possible, on considère qu’il est fondamental de disposer d’une gamme de fournisseurs toujours en mesure de répondre aux besoins de production de Valente dans les délais et avec les exigences de qualité imposées par le marché.

C’est pourquoi Valente propose de lancer une analyse de marché plus approfondie afin d’identifier plusieurs fournisseurs dans plusieurs pays qui offrent des garanties adéquates en matière de durabilité, de manière à s’assurer que l’entreprise respecte les paramètres fixés par le client, tant en termes de qualité que de délais de livraison. Par conséquent, la possibilité d’adopter des questionnaires de qualification ou de vérifier la disponibilité d’informations concernant notamment la qualité du matériel fourni, les méthodes d’approvisionnement en électricité et les éventuelles initiatives prévues pour une meilleure gestion des risques climatiques est envisagée.

CHANGEMENT CLIMATIQUE ET CONSOMMATION D’ÉNERGIE
(B 3 – Énergie et émissions de gaz à effet de serre)

La consommation d’énergie et les émissions indirectes de GES (champ d’application 2) calculées pour l’année 2022 présentent les valeurs suivantes, tirées des factures d’électricité :

Il convient de noter que le chauffage ne fonctionne que pour les bureaux, qu’il n’est pas présent dans les halls de production et qu’il n’est utilisé dans aucune étape du processus.

L’intensité énergétique globale attribuable à chaque tonne de rails et de composants produite est donc de 395 kwh/an si l’on prend en compte l’ensemble de la consommation d’énergie de l’entreprise.

À partir de 2024, l’entreprise signera un contrat de fourniture d’énergie certifié afin d’utiliser de l’énergie provenant de sources renouvelables et de réduire ainsi les émissions indirectes de GES.

Par ailleurs, l’entreprise dispose de 3 véhicules de fonction qui ont parcouru un total de 46 000 km en 2022 pour une consommation d’énergie de 21512 kwh et des émissions directes de GES scope 1 de 3,4 tonnes Co2 eq.

Toujours dans le domaine des émissions directes de gaz à effet de serre (champ d’application 1), l’entreprise a ajouté 1 kg de R32, un gaz réfrigérant de nouvelle génération, en 2022, ce qui représente une émission de 0,68 tonne d’équivalent CO2.

Bien que cela ne soit pas obligatoire, un processus d’évaluation de la consommation d’énergie et des émissions à l’extérieur de l’organisation a été lancé pour commencer à évaluer la question et s’est concentré sur la mobilité et le transport des employés. Sur la base des kilomètres parcourus et du type de véhicule utilisé, les résultats suivants ont été obtenus :

• Les 22 employés parcourent un total de 387 200 km/an (en considérant 220 jours de travail) et, en considérant les différents moyens de transport, consomment 93500 kwh/an en émettant 25 tonnes de Co2eq/an.
• Les marchandises sont principalement transportées par bateau (184 500 km/an) et par voie terrestre (37 600 km). Sur la base des facteurs de conversion proposés par le protocole GHG, cela se traduit par l’émission de 402 tonnes/an de Co2eq.

En ce qui concerne l’adaptation au climat, une évaluation des risques a été réalisée à l’aide de l’outil Derris, mis à disposition par Unipol en collaboration avec l’ANCI et d’autres associations concernées, afin d’évaluer le niveau de risque de Valente lié au changement climatique et, sur la base de la situation géographique et du type d’activités menées au siège, les éléments suivants ont été dégagés :

È interessante notare che lo stesso strumento propone anche delle attività di miglioramento mirate a ridurre il livello di rischio cui è esposta l’azienda rispetto ad eventi climatici estremi e si valuta entro il prossimo biennio: di verificare il piano di protezione civile messo a punto dal Comune al fine di comprendere quali misure son previste nell’area dove insiste l’azienda; di realizzare all’interno dello stabilimento delle zone verdi con piantumazioni e/o creazioni di siepi in modo da ridurre l’effetto dell’isola di calore ; di installare dei sistemi di contenimento dei consumi idrici quali regolatori di flusso in modo da ridurre il consumo dell’acqua per scopi igienico sanitari; di verificare insieme a un tecnico il livello di autoprotezione dai fulmini dell’intero capannone.

Dal punto di vista finanziario, la questione energetica è tenuta particolarmente in considerazione in quanto sia nell’approvvigionamento del materiale che nel trasporto del prodotto finito può aver un impatto significativo sui ricavi dell’azienda con un’incidenza che può raggiungere il 20% sull’importo della commessa. Inoltre considerato che dal 1 ottobre 2023 è entrato in vigore il CBAM (ossia il regolamento Europeo Carbon Border Adjustment Mechanism che comporterà un progressivo aggiustamento del prezzo sulle merci importate da territori extra UE per compensare la produzione di CO2 nei luoghi di produzione del bene), diventerà sempre più vincolate una accurata indagine sulle emissioni di CO2 derivanti dai processi dei fornitori esteri al fine di fornire al registro che verrà istituito una informazione puntuale e pagare il contributo corretto.

Nell’ottica, pertanto, di identificare correttamente le azioni preventive da intraprendere si vorrebbe realizzare nei prossimi 3 anni un LCA sulle rotaie che ci permettesse di individuare i punti critici del processo e di impostare misure alternative ove necessario e soprattutto possibile.

Nous évaluons également la possibilité de réaliser un diagnostic énergétique du bâtiment afin de mettre en évidence les mesures d’efficacité énergétique possibles, bien que, compte tenu du processus et des méthodes d’exploitation, la consommation d’énergie prédominante se situe à l’extérieur du périmètre de l’entreprise.

Nous aimerions également inclure dans le processus de qualification des fournisseurs de matières premières une évaluation des méthodologies d’approvisionnement en énergie et de l’empreinte carbone du processus, afin de pouvoir comprendre le niveau d’indépendance énergétique des fournisseurs individuels, ce qui, dans un secteur comme celui des aciéries, deviendra un élément de plus en plus pertinent, et de recueillir les informations correctes à communiquer au registre CBAM.

Toutefois, compte tenu de la confidentialité des informations, nous estimons qu’il est peu probable que nos fournisseurs coopèrent.

UN PROCÉDÉ PEU POLLUANT
(B 4 – Pollution de l’air)

Le processus de traitement des matériaux adopté par VALENTE S.p.A. n’implique aucune pollution potentielle du sol ou des ressources hydriques, ni l’utilisation de substances préoccupantes ou très préoccupantes. Pour le traitement des matériaux produits, soit environ 1 600 tonnes/an, des substances de peinture contenant 480 kg/an de solvant sont utilisées, ce qui correspond à 0,013 kg de solvant/kg de produit.

Pour les activités de meulage et de soudage, des échantillonnages semestriels sont effectués et confirment le respect total des limites prescrites pour l’émission de poussières (6,5 mg/nm3 < 10 mg/nm3). Ces quantités particulièrement faibles nous permettent de considérer la pollution atmosphérique potentielle, qui est de toute façon gérée conformément à l’autorisation de dérogation obtenue en 2012, comme insignifiante et, par conséquent, de considérer le risque comme insignifiant.

L’impact financier lié à cette question est dû à la sanction administrative d’un montant maximum de 10 000 € que l’entreprise pourrait encourir en cas de non-respect des exigences de l’autorisation, ainsi qu’à la suspension pendant 3 mois des activités spécifiques couvertes par l’autorisation en cas d’expiration de celle-ci. C’est pourquoi des outils de contrôle (calendriers et assistance du consultant qualifié) ont été définis pour éliminer ce risque éventuel.

S’agissant d’un aspect dont la gestion a été largement consolidée dans le temps et dont les modes opératoires sont restés constants dans le temps, il n’est pas jugé nécessaire de mettre en œuvre une action supplémentaire autre que le maintien de la procédure actuelle de contrôle des émissions qui prévoit le suivi des échéances prévues par l’autorisation, l’assistance du consultant qualifié qui établit le rapport approprié tous les deux ans, et la réalisation d’échantillonnages semestriels.

Au cours de l’année prochaine, l’obtention de la certification ISO 14001 est prévue, comme une garantie supplémentaire non seulement du respect total des exigences réglementaires, mais aussi de l’adoption d’une approche visant à l’amélioration continue de la gestion des aspects environnementaux.

SEULS 5 % DES MATÉRIAUX ENTRANTS DEVIENNENT DES DÉCHETS
(B 7 – Gestion des déchets)

L’activité menée à Valente, qui implique principalement des travaux de découpe, de finition et d’assemblage, se traduit par une production de déchets particulièrement faible, de l’ordre de 5 % du matériel entrant, et sur ce pourcentage déjà faible, plus de 99 % sont constitués de matériaux destinés au recyclage, tels que le fer et l’acier. En outre, 80 % des matériaux d’emballage dans lesquels les matières premières arrivent sont recyclés lors des transports ultérieurs. Les chiffres du registre de chargement et de déchargement pour 2022 sont les suivants :

• CER 170405: déchets de fer et d’acier 80 ton
• CER 120109* émulsions 530 kg
• CER 150202: l’emballage 300 kg

En général, moins d’une tonne par an d’émulsions est achetée, qui est utilisée pour les traitements antirouille ou les retouches nécessaires sur les wagons ou d’autres matériaux traités, et qui est utilisée jusqu’à épuisement. Dans les cas sporadiques où une utilisation plus importante est nécessaire (comme dans le cas présent où des travaux de peinture importants ont été nécessaires sur certains wagons), les déchets éventuels sont les seuls à être éliminés et non recyclés..

Étant donné que la production de déchets représente un gaspillage de matières premières pour Valente et donc un coût financier, la production de déchets fait déjà l’objet d’un suivi attentif, visant à la contenir en permanence. Le personnel a également été dûment formé à la gestion correcte du stockage temporaire des déchets, à l’enregistrement correct des mouvements et à la qualification des fournisseurs pour le transport et l’élimination, afin d’éviter d’encourir des sanctions liées aux réglementations en matière de gestion des déchets.

SOCIAL

RECRUTEMENT, POLITIQUES DE RÉMUNÉRATION ET ROTATION DU PERSONNEL
(VSME ESRS B 8 Personnel – Caractéristiques générales)

Le personnel est un élément central de l’activité de Valente. En raison des caractéristiques de l’entreprise, l’impact sur la main-d’œuvre est limité et concerne principalement la question de la santé et de la sécurité des travailleurs.

En ce qui concerne le nombre de travailleurs employés au cours de la période de référence, la société emploie 20 salariés et un collaborateur co.co.

L’un des principaux objectifs de Valente est d’offrir une relation de travail stable et continue, car les effets positifs que l’aspect contractuel génère sur la main-d’œuvre affectent particulièrement la satisfaction des employés et donc la productivité, avec les effets financiers positifs qui en découlent.

Valente a signé un contrat de travail à durée indéterminée avec 85 % des employés.

La stabilité des relations de travail ressort également des chiffres de rotation pour la période considérée, où l’on a enregistré deux nouvelles embauches et aucun départ à la retraite, licenciement ou démission.

Ce chiffre positif est à mettre en relation avec la répartition des travailleurs par tranche d’âge. Ces données démontrent la volonté de Valente de favoriser l’emploi des jeunes, tout en veillant à l’hétérogénéité des ressources, afin de maintenir un équilibre entre l’expérience dans l’entreprise et le renouvellement des générations.

Un lieu de travail ouvert à tous

En ce qui concerne la diversité des sexes au sein de la main-d’œuvre, Valente emploie 16 hommes et 5 femmes. Compte tenu de l’activité exercée, il convient de noter que la prédominance du sexe masculin au sein de la main-d’œuvre se retrouve essentiellement dans le rôle d’ouvrier, une circonstance inhérente au type d’activité exercée et conforme au secteur de référence. Au contraire, dans le domaine administratif, la présence des femmes est plus importante et ce chiffre doit être évalué positivement.

Valente garantit à son personnel un traitement équitable basé sur des critères de mérite, sans aucune discrimination fondée sur la nationalité, le sexe, l’orientation sexuelle, l’identité de genre, le handicap, la race, la croyance religieuse, l’affiliation politique ou syndicale, les conditions personnelles et sociales, conformément à la législation applicable et, en particulier, au Code de l’égalité des chances en vertu du décret législatif n° 198 du 11 avril 2006.

L’analyse des risques menée dans ce domaine montre que le fait de prendre soin de l’environnement de travail et de protéger l’inclusion et, plus généralement, le bien-être des employés a un impact direct sur les niveaux de productivité de l’entreprise, ainsi que sur sa capacité à attirer des travailleurs (actuels et potentiels).

C’est également pour cette raison que l’entreprise considère qu’il est essentiel de continuer à investir des activités et des ressources afin de garantir la protection de son personnel.

Conformément à cet objectif, Valente prévoit d’adopter en 2023 un code d’éthique, comme indiqué plus en détail ci-dessous, dans lequel elle s’engagera à :

• adopter des critères de mérite, de compétence et en tout état de cause des critères strictement professionnels pour toute décision concernant un salarié ;
• sélectionner, recruter, former, rémunérer et gérer les salariés sans aucune discrimination
• créer un environnement de travail dans lequel les caractéristiques personnelles ne peuvent donner lieu à des discriminations

Actuellement, l’entreprise n’a pas mis en place d’outils tels que le travail intelligent ou le travail agile dans l’entreprise, en partie à cause de l’étendue de ses activités, qui nécessite la présence physique quotidienne de travailleurs dans l’entreprise.

Cependant, Valente a l’intention d’augmenter au cours des trois prochaines années la possibilité de flexibilité horaire pour ses employés et la possibilité de réduire les heures de travail, après discussion avec le service concerné, et envisagera à l’avenir – si cela n’implique pas un ralentissement et/ou une limitation de l’activité – l’introduction d’une procédure écrite.

Ce type d’action vise à favoriser l’équilibre entre la vie professionnelle et la vie privée de ses employés, en vue également d’accroître leur satisfaction dans le cadre d’une augmentation espérée de la productivité.

SANTÉ ET SÉCURITÉ AU TRAVAIL
(VSME ESRS B 9 – Main-d’œuvre – Santé et sécurité)

La protection de la santé et de la sécurité des travailleurs est une question centrale pour Valente, qui a adopté un système de gestion de la santé et de la sécurité des employés entièrement conforme à la législation nationale applicable.

Au cours de l’année de référence, l’entreprise n’a enregistré qu’un seul accident (fracture due à une chute sur le lieu de travail). Par conséquent, le taux d’accidents enregistré par l’entreprise au cours de la période de référence était de 5 %, ce qui représente une diminution par rapport au chiffre enregistré en 2021, à savoir deux accidents avec un taux de 10 %.

L’impact financier lié à cette question est imputable aux sanctions pénales et administratives prévues par le décret législatif 81/08, la loi consolidée sur la santé et la sécurité au travail, que l’entreprise pourrait encourir en cas de non-respect des dispositions de la loi, ou en cas de litige. Consciente des risques associés à ce domaine, l’entreprise a adopté des mesures financières et de gestion.

Mesures financières parce que Valente a investi ces dernières années dans l’amélioration de ses installations et des mesures de sécurité adoptées dans l’entreprise, afin de pouvoir réduire de manière significative la possibilité d’accidents du travail.

Mesures de gestion parce que l’entreprise réalise périodiquement une étude détaillée afin d’évaluer et de gérer les facteurs qui exposent les travailleurs au risque de blessure.
Cette phase d’étude et de suivi aboutit au Document d’évaluation des risques (DVR), dont la dernière mise à jour date d’octobre 2021.

L’entreprise a également adopté des politiques spécifiques. En particulier, elle a :

1. mettre en place une procédure de gestion des situations d’urgence en cas d’incendie ;
2. réalisé des tests d’évacuation impliquant l’ensemble du personnel ;
3. dispensé le cours de lutte contre l’incendie en 2022 ;
4. adopté un document sur la fourniture d’EPI (équipements de protection) ;
5. préparé des procédures écrites de santé et de sécurité sur : les règles générales de sécurité ; l’utilisation des EPI ; la manutention manuelle de charges ; l’utilisation du pont roulant ; l’utilisation de la scie circulaire ; les premiers secours.

En outre, Valente, afin de mettre en œuvre un suivi constant de l’évolution des accidents, rapporte dans le Document d’évaluation des risques – DVR une section intitulée “Registre des accidents” avec un résumé des accidents survenus depuis 2015 jusqu’à la date de rédaction du document, en les distinguant par année où ils se sont produits et par résultat.

La validité du système de gestion et de prévention adopté est attestée par l’évolution des accidents sur le lieu de travail, présentée ci-dessus.

En outre, l’entreprise a l’intention d’adopter un plan stratégique au cours des trois prochaines années qui lui permettra de mettre en œuvre un système visant non seulement à atténuer, mais aussi à prévenir les risques liés à cette question.

Plus précisément, l’entreprise a l’intention de:

• prendre des mesures pour améliorer les méthodes et pratiques de travail, telles que des activités visant à vérifier, étendre et mettre à jour les règles et procédures internes en matière de santé et de sécurité,
• renforcer la formation spécifique ;
• introduire des cours de formation nouveaux et supplémentaires sur une base volontaire ;
• augmenter les outils nécessaires à l’amélioration des conditions de travail, tels que les manuels et/ou les instructions d’utilisation.

GOUVERNANCE

La société est administrée par un conseil d’administration (CA) composé de trois membres, qui peuvent ou non être actionnaires, selon la décision de l’assemblée générale, et dont le mandat n’excède pas trois exercices.

Le conseil d’administration est actuellement composé de

Le système de gouvernance adopté suit le modèle “traditionnel” d’administration et de contrôle.

Les règles et méthodes de planification, de gestion et de contrôle qui constituent le système de gouvernance d’entreprise sont définies par le conseil d’administration dans le respect de la réglementation à laquelle la société est soumise et des meilleures pratiques de référence nationales et internationales.

Le conseil d’administration est investi des pouvoirs les plus étendus pour la gestion ordinaire et extraordinaire de la société, avec le pouvoir pour les administrateurs nommés d’accomplir tous les actes, y compris les actes de disposition, qu’ils jugent appropriés pour la mise en œuvre et la réalisation de l’objet social, à l’exclusion seulement de ceux que la loi réserve exclusivement à l’assemblée générale des actionnaires.

La société est représentée par le président du conseil d’administration, M. Alberto Menoncello.

Valente a nommé un collège de commissaires aux comptes composé de trois membres titulaires et de deux membres suppléants :

Organigramme de l’entreprise

Intégrité de l’entreprise et création de valeur
(VSME ESRS B 11 – Condamnations et sanctions pour corruption)

Pour Valente, la corruption constitue une menace sérieuse – ainsi qu’un impact négatif (potentiel) – pour le développement des relations économiques et sociales, et elle promeut la lutte contre ce fléau, tant dans les relations avec les fonctionnaires qu’avec les particuliers.

La lutte contre la corruption vise à éviter d’éventuelles sanctions ou répercussions sur l’entreprise, afin de protéger sa réputation, dans le respect total des principes de loyauté, d’équité, de transparence, d’honnêteté et d’intégrité qui animent le comportement des employés.

L’entreprise n’a pas été condamnée ni n’a reçu d’amende pour violation des lois anti-corruption et anti-pots-de-vin au cours de la période couverte par le rapport.

Il est également admis que d’ici 2023, l’entreprise adoptera volontairement son propre code d’éthique, qui énoncera les principes essentiels de la conduite des affaires, tels que la légalité, l’intégrité, la transparence, la diligence, le professionnalisme, la confidentialité, l’équité sociale et la valeur de l’individu.

Le code d’éthique régit notamment les domaines suivants :

• l’éthique dans la conduite des affaires et des activités de l’entreprise, dont les valeurs sont : la légalité, l’intégrité, la loyauté, la transparence et le respect de la dignité des personnes
• l’éthique du travail, la protection et la valorisation des travailleurs, dont les valeurs sont : l’engagement d’amélioration, la confidentialité, l’absence de conflits d’intérêts, la santé et la sécurité au travail, l’égalité des chances et le développement professionnel
• l’engagement en faveur du développement durable et la responsabilité à l’égard de la communauté, dont les valeurs sont : la promotion du développement durable, la responsabilité à l’égard de la communauté ;
• l’éthique dans la conduite des affaires de l’entreprise.

Les principes qui inspirent toutes les activités de l’entreprise sont les suivants :

• Légalité : tous les employés et collaborateurs sont tenus de respecter les lois et règlements en vigueur dans les pays où ils opèrent, le code d’éthique et les règles internes de l’entreprise, en les appliquant avec droiture et équité ;
• Intégrité dans ses relations avec les tiers: elle s’engage à agir de manière correcte et transparente, en évitant les informations trompeuses et les comportements visant à tirer indûment profit des positions de faiblesse ou du manque de connaissances d’autrui. Dans le but de maximiser nos propres résultats économiques et financiers, nous nous engageons à établir des relations commerciales correctes avec les tiers, des relations durables avec les clients et les fournisseurs, et une reconnaissance appropriée de la contribution de nos propres employés et collaborateurs ;
• Loyauté : les relations externes, les relations avec les employés et les collaborateurs doivent être marquées par la plus grande loyauté, c’est-à-dire par la fidélité à la parole donnée, aux promesses et aux pactes, en agissant de manière responsable pour valoriser et sauvegarder le patrimoine de l’entreprise ;
• Transparence : toutes les actions et relations avec les parties prenantes et les actionnaires doivent être menées en garantissant l’exactitude, l’exhaustivité, l’uniformité et l’actualité des informations ;
• Respect de la dignité des personnes : respect des droits fondamentaux des personnes en les protégeant et en garantissant l’égalité des chances ;
• Éthique du travail et protection des employés : absence de conflits d’intérêts.

Tous les employés et collaborateurs sont tenus de se comporter conformément aux principes suivants :

• Engagement d’amélioration : les employés et les collaborateurs s’engagent à donner le meilleur de leurs compétences professionnelles et à les améliorer continuellement.
• Confidentialité : les employés et les collaborateurs s’engagent à traiter de manière confidentielle toutes les informations obtenues dans le cadre de l’exécution de leur travail et, par conséquent, à ne les divulguer que dans les limites de l’activité exercée.
• Absence de conflit d’intérêts : les employés et les collaborateurs veillent à ce que chaque décision commerciale soit prise dans l’intérêt de l’entreprise et s’engagent à éviter toute situation de conflit d’intérêts entre les activités économiques personnelles ou familiales et l’emploi qu’ils occupent, qui pourrait affecter leur indépendance de jugement ou de choix. Si un salarié se trouve dans une situation qui, même potentiellement, peut constituer ou conduire à un conflit d’intérêts, il doit le signaler rapidement à son supérieur hiérarchique et au conseil de surveillance, afin que sa présence effective soit évaluée et que des mesures soient définies.

Enfin, l’entreprise a adopté et entend poursuivre la mise en œuvre d’une stratégie financière et fiscale visant à tirer parti de toutes les possibilités de financement subventionné disponibles, ainsi qu’à bénéficier de crédits d’impôt pour les investissements visant à accroître la durabilité dans toutes les matrices ESG (c’est-à-dire les investissements et l’embauche de personnel).
L’entreprise envisage de participer davantage à des initiatives communautaires et de soutenir des causes sociales locales.

Méthodologie utilisée pour l’établissement des rapports et résultats

Ce document est préparé conformément aux normes européennes de reporting sur le développement durable (European Sustainability Reporting Standards for non-listed Small- and Medium-Sized Enterprises – VSME ESRS) approuvées par le Groupe consultatif pour l’information financière en Europe (EFRAG), pour rendre compte de la performance d’une organisation en matière de développement durable, afin d’évaluer les impacts économiques, environnementaux et sociaux des activités de Valente.

Les informations contenues dans le présent rapport de durabilité couvrent la période allant du 1er janvier 2022 au 31 décembre 2022 et reflètent les principes suivants : exactitude, exhaustivité, actualité, comparabilité, équilibre, vérifiabilité, clarté et contexte de durabilité.

L’entreprise a choisi d’adopter l’option b) de la norme VSME ESRS, à savoir le module de base et le module PAT narratif.

Enfin, il convient de noter que le présent rapport sur le développement durable a été préparé sur une base individuelle et non consolidée.

Des informations détaillées sur les indicateurs figurent à l’annexe 1, Analyse de la matérialité, qui présente les informations collectées pour l’année 2022, l’évaluation de l’impact et les critères de quantification, l’analyse des risques et les critères de quantification, ainsi que l’évaluation des parties prenantes sur les différentes questions jugées pertinentes.

Les parties prenantes ont été impliquées au moyen d’entretiens et de questionnaires, limités pour l’instant à l’implication du personnel et des clients les plus pertinents et à l’interview des différentes fonctions de l’entreprise représentant les autres parties prenantes externes.
parties prenantes externes.

Comme il s’agit de la première année de collecte de données, il n’y a pas de comparaisons avec les années précédentes.
Les questions matérielles pertinentes ont été identifiées à partir de la liste fournie à l’annexe B de la norme ESRS de la VSME : Liste des questions de durabilité utilisées pour l’analyse de matérialité, qui, pour certains points, ont été détaillées en se référant aux questions de matérialité dans les lignes directrices pour les PME cotées en bourse.

En ce qui concerne le domaine environnemental, les données ont été collectées à partir des factures d’achat et de vente, des factures, du registre des émissions, du registre des chargements et déchargements et des MUD, de l’analyse des kilomètres parcourus par les employés et les marchandises, ainsi que de l’analyse des contrats stipulés avec les employés et de leurs fiches de paie. En particulier, pour les calculs relatifs aux émissions du champ d’application 3 liées à la mobilité et au transport, veuillez vous référer aux tableaux ci-dessous (tableaux des émissions de GES), où les facteurs de conversion fournis par le protocole des GES ont été utilisés.

La plateforme Derris, développée par un certain nombre d’institutions en collaboration avec Unipol et visant à soutenir les PME dans le processus d’évaluation du risque associé aux événements climatiques anormaux liés à l’emplacement physique de l’entreprise et aux méthodes opérationnelles avec lesquelles l’entreprise est menée, a été utilisée pour quantifier le risque lié au changement climatique.

En ce qui concerne les domaines social et de la gouvernance, les données ont été collectées pour la période de référence à partir des documents de l’entreprise, de l’organigramme, des contrats et des fiches de paie du personnel, des données sur la formation, des DVR, des documents et des procédures relatifs à la santé et à la sécurité.

Métriques – Questions environnementales (DOMAINE DE L’ENVIRONNEMENT)
VSME ESRS

Tableau des émissions de GES pour le transport maritime de marchandises :

Emissioni CO2 da Average container ship tonne.km 0,01612
Emissioni CO2 con Vans > 3.5 ton 0,57 tonne.km
Merce proveniente con nave_ 431 + 239 + 23 = 693 in 30 viaggio, quindi una media di 23 ton a viaggio

TOT: 77,9 ton Co2 mare + 106 via terra= 184 ton ton co2

Tabella emissioni GHG per consegna merce via terra:

Émissions de CO2 pour les camionnettes > 3,5 tonnes 0,57 tonne.km
Total des marchandises par voie terrestre : 1430-693= 737

TOT 218 tonnes d’éq. CO2

13 tonnes en moyenne sur les véhicules

Métriques – Questions sociales (DOMAINE SOCIAL)
VSME ESRS B 8 – Personnel – Caractéristiques générales

Nombre total de salariés par type de contrat

Nombre total de salariés par genre

Nombre total de salariés par tranche d’âge et par type de contrat

VSME ESRS B 9 – Main-d’œuvre – Santé et sécurité

Le taux d’accidents enregistrables correspond à l’opération mathématique suivante :

1/40.000 ∗ 200.000 = 5

VSME ESRS B 10 – Personnel – Rémunération, négociations collectives et formation

Le taux d’accidents enregistrables correspond à l’opération mathématique suivante :

1/40.000 ∗ 200.000 = 5

Relation entre le niveau d’entrée et le salaire minimum

????? = ??????? ??????? ????????/??????? ??????

En ce qui concerne la profession d’ouvrier, le rapport entre le niveau d’entrée et le salaire minimum stipulé par les négociations collectives au cours de la période de référence (niveau D1) est le suivant :

????? = 1.572,91/1.509,07= 1,04

En ce qui concerne le poste de commis, le rapport entre le niveau d’entrée et le salaire minimum prévu par la convention collective au cours de la période de référence (niveau D1) est le suivant :

????? = 1.791,82/1.509,07= 1,18

Écart en pourcentage entre les employés féminins et masculins

(??????? ????? ??? ??? ?????? − ??????? ????? ??? ??? ?????)/??????? ????? ??? ??? ??????∗ 100

(16 − 17)/17∗ 100 = −6,25%

Couverture des négociations collectives

100 % des travailleurs employés par l’entreprise sont couverts par la négociation collective nationale et relèvent spécifiquement de la CCNL Metalmechanics.

Nombre et heures de cours de formation dispensés aux travailleurs

Indicateurs – Conduite des entreprises (DOMAINE DE LA GOUVERNANCE)
VSME ESRS B 11 – Condamnations et sanctions pour corruption

L’entreprise n’a fait l’objet d’aucune condamnation et n’a reçu aucune amende pour avoir enfreint les lois anti-corruption et anti-pots-de-vin.